Le travail mené depuis 40 ans en termes de recherche et d’enseignement de l’art-thérapie œuvrent à le reconnaissance de cette discipline assimilée paramédicale :
• les fondements de l’art-thérapie moderne,
• la création des Diplômes Universitaires d’art-thérapie,
• l’accréditation par l’Etat,
• le développement des relations internationales,
• la création de la Guilde, répertoire des art-thérapeutes associée au code de déontologie art-thérapeutique,
• l’ouverture du Centre d’Etudes Supérieures de l’Art en Médecine,
• la réalisation du 1er dictionnaire de l’Art en médecine,
• les 2 500 mémoires et articles scientifiques validés.

La confiance croissante qu’accordent les médecins et les institutions pour l’art-thérapie en l’intégrant au protocole de prise en charge du patient ainsi que l’appui grandissant des Agences Régionales de Santé posent la discipline comme véritable thérapie complémentaire de la médecine conventionnelle.
Elle est officiellement représentée dans de nombreux domaines et répond aux recommandations des agences sanitaires et des sociétés savantes. Par exemple : dans le soin aux personnes âgées (Plan Alzheimer), en oncologie (soins de support) ou encore dans les plans Autisme.
Les art-thérapeutes sont des professionnels parfaitement intégrés et complémentaires aux équipes paramédicales comme l’attestent le nombre croissant de projets de soin menés conjointement par des médecins et des art-thérapeutes.

L’art-thérapie apparaît maintenant dans des documents administratifs officiels.
L’art-thérapeute entre aujourd’hui dans la Convention Collective Nationale de l’hospitalisation privée (catégorie des Technicien(ne) et Agent de maîtrise ce qui le place en position 2/3).
En effet, la Convention Collective Nationale de l’hospitalisation privée (du 18 avril 2002 – secteur médico-social) vient de modifier son annexe spécifique aux établissements accueillant des personnes âgées et notamment sa grille de classification de la filière des personnels soignants.
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